Belle fin du B.E.A.U.

Et voilà notre petite contribution à la biennale du design 2015, à savoir le B.E.A.U, est finie.

Évidemment, ça ne pouvait être que par une balade urbaine à Jacquard avec les hôtesses en grande tenue, et moi, hum, hum.

Et la pluie, aussi, s’était invitée. Et il ne faisait vraiment pas chaud. Belle fin, oui, mais mauvais temps.

Comme d’habitude j’étais capitaine de ce petit voyage (mais chez nous le capitaine n’a rien à faire), avec quelques variétés  : un épisode cri de la gazette,  et une performance d’une bonne demi-heure, largement improvisée, avec deux musiciens, pour nos amis les typographes, pour interpréter des polices de caractère.

Le Cri de la Gazette, notre choeur parlé, (voir ici, ici, là, et là et encore là) a été court, mais je pense un des moments les plus magiques de notre petite affaire : plus de 50 personnes dire, à l’unisson, d’une voix claire, sans aucune préparation, un texte sur la vie banale du quartier, c’est quand même fou.

Puis je n’ai eu que le temps de m’échapper pour préparer l’impro des typographes, rencontrer les musiciens (plutôt découvrir qui ils étaient), faire quelques préparations, attendre, attendre, attendre (la balade urbaine prenait son temps), et allons y c’est parti. Un diaporama de textes dans différentes polices et nous devions l’interpréter en fonction, ça a bien duré une demi heure et on s’en est pas trop mal sorti on dirait.

Et voilà. À la prochaine biennale ?…

 

Aucune idée de qui a fait les photos… vous pouvez en voir d’autres sur les albums facebooks The B.E.A.U.tiful finish ! et Le B.E.A.U..