Ici Bientôt 28/03/17
Ça roule pour la dernière semaine de l’action ici bientôt dans la rue de la ville pour la biennale du design de Saint-Étienne 2017 !
Tout est riquiqui première
Première apparition publique de ma recherche action questionnante Tout est riquiqui (explications à venir).
Une phrase ou expression, un pinceau, une couleur, un affichage répétitif sur le modèle des tags de rue… mais chacun se rendra compte que c’est encore à perfectionner.
Ce jour était par hasard consacré aux petites formes, car j’ai rajouté dans la météo de le rue de la ville sur le journal mural des images des commerçants au format timbre-poste.
Je le fais en recopiant une photo avec un stylet sur le logiciel inskape. Donc, les spécialistes auront compris que c’est du format vectoriel, et que donc, demain, quand je voudrais, le format timbre-poste pourrait devenir super-grand hi ! hi !
À voir, gardons le potentiel.
Toujours question affichage, j’ai dû refaire encore une fois le panneau Journal mural, celui s’étant encore une fois barré.
Pour l’instant, le seul truc fiable que j’ai trouvé pour accrocher un papier au mur du journal mural – qui est en fait une vitre – c’est papier kraft + patafix… tout le reste ne fonctionne pas dans mon propos à un moment ou à un autre. Cette technique kraft+patafix n’a eu qu’un seul pépin, avec le panneau « Le crayon d’ville » qui s’était fait envoler, mais a été récupéré et rescotché par un commerçant. (du coup, on apprend que le scotch fonctionne aussi). Mais, une fois par quinzaine, ça entre complètement dans l’idée que je me fais du journal mural. Les autres systèmes que j’ai trouvés, soit sont moches, soit tiennent trop longtemps, soit pas assez longtemps.
Et le reste
Les différentes boutiques-projets roulent leur vitesse de croisière… L’angle de la ville, boutique dite des créatrices (mais il y a au moins un créateur, hi ! hi ! ) continue de recevoir pas mal de clients, la Thé le bienvenue, pour le service social de rue, est bondée, et la Si j’avais un café, dans la créativité + bar, déborde ; sans parler du hors boutique, à savoir Typotopy, dont les étudiants courent partout pour que leurs enseignes soient prêtes jeudi.

Opération couture coussins jaunes à « Si j’avais un café ».

La couture c’est la classe

Les étudiants dans la création d’enseignes, eux, ne cherchent absolument pas à rigoler.

Ils se retrouvent face à de véritables puzzles où la moindre poussière fait hurler le professeur.

Et quand ils sortent repeindre la devanture d’un commerçant (ici, un fromager, place Boivin), c’est avec la conscience profonde que leur travail fera le quotidien d’une affaire et d’une lieu pendant des dizaines d’années !

Que d’histoires, dans les boutiques, abandonnées ou actives, autour de la rue de la ville.