Le Cri de la Gazette est B.E.A.U.

Et voilà c’est parti pour le cri de la gazette !

Le deux premières (ici, ici) avaient été du rodage, et là l’équipe du B.E.A.U avait réservé au Cri de la Gazette une place de choix pour l’inauguration, donc c’était du facile. Pratiquement 30 personnes, et même des passants de hasard, y ont participé, malgré le temps gris.

À l’heure où la municipalité de Saint-Étienne m’interdit de chanter dans la rue, c’est un peu cocasse.

Aucun nouveau texte cette fois : d’un commun accord avec l’équipe, on avait décidé de ne reprendre que des textes déjà connus, vu qu’il fallait assurer le coup pour l’inauguration, avec des gens sérieux.

J’avais juste refait entièrement le carton du texte de l’autorisation municipale aux poissons – si la vraie municipalité interdit, ma municipalité fantaisiste autorise – de se promener.autorisationpourlespoissonsMalheureusement l’usage rend le carton assez crade, et c’est difficile de nettoyer la craie. (pour moi en tout cas). J’ai mis quelques inflexions bleues dans le fond noir, car il me semble que c’est plus lisible ainsi, et plus joli, en plus.

Un personnage qui ne cesse de prendre de l’ampleur est celui du prompteur. Je l’avais imaginé au départ au simple motif qu’il fallait quelqu’un pour tenir les cartons, mais je me suis aperçu qu’il était nommé spontanément prompteur par le public, donc c’est un personnage évident, j’ai vu que ses cartons faisait retour son pour le chœur, ce qui est plein de symboles et fait penser, j’ai commencé à lui demander de mettre un simili déguisement, il commence aussi à avoir un rôle de synchro pour le chœur (forcément, c’est le prompteur ! ), pour autant c’est un rôle tenable par tout le monde… bref ça n’est pas fini pour le prompteur.

 

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